Aircé.Bio

Passionné dès son plus jeune âge par la bande dessinée, ce vaudois publie ses premiers dessins à l’âge de 15 ans. Toutefois, venu le temps de faire un choix professionnel la conjoncture économique du moment le conduit à s’orienter dans un apprentissage d’ébéniste plutôt que de graphiste. Néanmoins, Il ne délaisse pas pour autant sa passion du dessin et continue à créer et publier comme illustrateur/graphiste indépendant. Dans les années 90, il illustre une BD pour la prévention du tabagisme auprès des jeunes avec l’aide du GNFA. Suite à quoi, il augmente sa visibilité en collaborant avec diverses entreprises actives dans les domaines des cartes postales et T-shirts humoristiques, réalisant également plusieurs billets de Tribolo.

Puis sa décision de partir travailler en Arménie pour une ONG dans le cadre d’un projet d’aide socio-économique comme expert-consultant dans le domaine du bois le pousse à mettre durant quelques années ses activités d’illustrateur/graphiste en stand-by.

Ce n’est que dans le cadre d’une formation en coaching holistique en 2015, durant laquelle il illustre abondamment son travail de mémoire, que le goût de dessiner lui revient. Il lui est alors proposé le défi artistique de collaborer à une exposition liant macro photo et dessins. Dans cette démarche créative à la recherche d’une osmose, d’une dynamique liant les deux arts, il fait le choix de réaliser des toiles à l’acrylique. Matière et support qu’il emploie pour la première fois.

Cette exposition signe son renouveau artistique, l’amenant dès 2016 à répondre à diverses sollicitations. En 2017 il crée, illustre et édite son premier jeu de cartes « Le roi de l’impro », un jeu multi-langue, conviviale, enchanteur et « multifonctions »  à l’image du couteau Suisse. Suivi en 2019 de la sortie de son second jeu « Rebus Mania », un jeu fun et dynamique à la prise en main rapide ainsi que multi-langues et intergénérationnel. Inspiré par ce caramel mou de huit centimètres de long, enrobé d’un papier jaune et rouge qu’il découvre dans sa jeunesse avec des rébus sur l’intérieur de l’emballage, qu’il s’évertuait à décrypter.

 

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